La dernière interdiction de Trump sur les visas de travail pour les non-immigrants
Aujourd'hui, 22 juin 2020, le président Trump a publié un décret qui gèlera la délivrance de visas de travailleurs spécialisés H-1B, de visas H-4 pour les travailleurs H-1B dépendants, de visas de transfert L-1, ainsi que de visas d'échange J-1, et de visas H-2B pour les travailleurs temporaires non agricoles jusqu'à la fin de 2020. Si l'histoire de l'immigration de la semaine dernière était celle de David contre Goliath, les bénéficiaires du programme DACA ont gagné contre Trump à la Cour suprême et ont bloqué l'annulation du programme DACA. L'histoire de l'immigration de cette semaine est le "Choc des Titans", puisque le président Trump s'attaque maintenant à toute l'industrie de la haute technologie et aux multinationales qui utilisent beaucoup les visas H-1B et L-1 pour employer des travailleurs étrangers talentueux.
Bien que tous les détails ne soient pas encore connus, il semble que les détenteurs des visas susmentionnés, qui se trouvent déjà aux États-Unis, peuvent continuer à prolonger leur statut, mais il n'est pas certain qu'ils pourront obtenir un visa dans un consulat américain à l'étranger pour des voyages internationaux, ou que les détenteurs de ces visas, qui sont actuellement en dehors des États-Unis, seront empêchés de revenir aux États-Unis.
Je prévois que les entreprises technologiques et les multinationales engageront des poursuites devant les tribunaux fédéraux américains pour obtenir des injonctions afin de bloquer la mise en œuvre du décret, car de nombreux employeurs ont déjà déposé des demandes pour les types de visas susmentionnés auprès de l'USCIS. Il s'agit d'une question particulièrement sérieuse pour les employeurs qui demandent des visas H-1B, puisque ces demandes ne peuvent être déposées qu'une fois par an, à savoir en avril. Cela constituera un bon argument pour justifier une injonction, bloquant l'application du décret, au motif que cette application causerait un préjudice irréparable aux employeurs américains et saperait leur compétitivité.
Nous aurons un article de suivi sur ce décret une fois que tous les détails auront été réglés et que les contestations juridiques auront été formulées. Aujourd'hui, le 22 juin 2020, le président Trump a publié un décret qui gèlera la délivrance de visas H-1B pour les travailleurs spécialisés, de visas H-4 pour les travailleurs H-1B dépendants, de visas de transfert L-1, ainsi que de visas d'échange J-1 et de visas H-2B pour les travailleurs temporaires non agricoles jusqu'à la fin de 2020. Si l'histoire de l'immigration de la semaine dernière était celle de David contre Goliath, où les bénéficiaires du programme DACA ont gagné contre Trump à la Cour suprême et ont bloqué l'annulation du programme DACA, celle de cette semaine est le "Choc des Titans", puisque le président Trump s'attaque maintenant à toute l'industrie de la haute technologie et aux multinationales qui utilisent beaucoup les visas H-1B et L-1 pour employer des travailleurs étrangers talentueux.
Bien que tous les détails ne soient pas encore connus, il semble que les détenteurs des visas susmentionnés, qui se trouvent déjà aux États-Unis, peuvent continuer à prolonger leur statut, mais il n'est pas certain qu'ils pourront obtenir un visa dans un consulat américain à l'étranger pour des voyages internationaux, ou que les détenteurs de ces visas, qui sont actuellement en dehors des États-Unis, seront empêchés de revenir aux États-Unis.
Je prévois que les entreprises technologiques et les multinationales engageront des poursuites devant les tribunaux fédéraux américains pour obtenir des injonctions afin de bloquer la mise en œuvre du décret, car de nombreux employeurs ont déjà déposé des demandes pour les types de visas susmentionnés auprès de l'USCIS. Il s'agit d'une question particulièrement sérieuse pour les employeurs qui demandent des visas H-1B, puisque ces demandes ne peuvent être déposées qu'une fois par an, à savoir en avril. Cela constituera un bon argument pour justifier une injonction de blocage de l'application du décret au motif que cette application causerait un préjudice irréparable aux employeurs américains et saperait leur compétitivité.
Nous aurons un article de suivi sur ce décret une fois que tous les détails auront été réglés et que les contestations juridiques auront été formulées.